Pour le salarié : Celui-ci bénéficie d’une indemnité de départ proportionnelle à sa durée de service au sein de l’entreprise. De plus, il perçoit le salaire correspondant aux jours travaillés, ainsi que la rémunération pour les jours de congés et les primes. En outre, le salarié ayant fait l’objet d’un licenciement à l’amiable conserve ses droits au chômage auprès de la sécurité sociale pendant une période de 6 mois. Les documents relatifs au licenciement à l’amiable ne divulguent pas les raisons de la rupture du contrat, offrant ainsi une protection au salarié lors de ses futures recherches d’emploi.
Pour l’employeur : Ce dernier est également à l’abri de réclamations de la part du salarié devant les tribunaux. Dans ce type de départ, l’employeur n’est pas tenu de justifier le licenciement devant les instances juridiques ou en conformité avec le code du travail, ce qui lui permet d’éviter des procédures administratives. La rupture à l’amiable constitue une méthode favorable pour l’employeur et le salarié afin de mettre fin à un CDI, notamment en cas d’arrêt maladie prolongé ou pendant une période économique difficile.
Leave a Reply